Mors

n. m. 1. Partie du dos des premiers et des derniers cahiers et feuillets que l'on rabat, lors de l'endossure, pour former l'emplacement dans lequel viendront se loger les cartons au moment de la pose de la couverture. Synonyme de tenon (généralement pour gros assemblage).

Partie d'une reliure qui sert de charnière entre le dos et chaque plat, plat recto et plat verso. Accessoire destiné à conduire les chevaux. Il se compose d'une tige appelée canon ou embouche qui traverse la bouche en appuyant sur la langue, les barres et la lèvre inférieure, de deux branches qui restent en dehors de la bouche et d'une gourmette qui réunit les extrémités postérieures des deux branches en passant sous le maxillaire inférieur. Note(s). La traction sur les rênes fixées aux extrémités antérieures des branches provoque une bascule du mors dont le canon vient appuyer sur les gencives. La sensation de pression, voire la douleur, indique au cheval dressé s'il doit ralentir ou tourner.

Composant d'une pince à biopsie en forme de cupules, à bords tranchants, qui permet de saisir la région à prélever. Mors (de la machine de traction). Partie d'une clé serre-tubes.

Pièce du harnais, levier qui passe dans la bouche du cheval et qui en agissant sur les barres, sert à le diriger.

Élément du mandrin qui est en contact avec la pièce à usiner.